Le think tank colombien spécialisé en analyses politiques et stratégiques en Amérique latine “CPLATAM” a souligné le rôle prépondérant que joue la Constitution marocaine de 2011 en tant que garant des droits et des libertés dans les Provinces du Sud mais aussi sur l’ensemble du territoire marocain, en mettant en relief l’état de non-droit qui règne dans les camps de Tindouf, au sud de l’Algérie.

Khalihenna Ould Errachid, Président du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes, s’est entretenu mercredi 11 juillet 2018,  avec une importante délégation du parlement d’Amérique centrale, présidé par  Navarro Anselmo, le Président de la Commission des relations extérieures et de la migration au sein de cette institution parlementaire régionale (Parlacen), dont le Maroc est membre observateur depuis 2015.

Des ONG latino-américaines des droits de l’Homme et des associations de la société civile ont dénoncé les graves violations des droits humains commises par le Polisario dans les camps de Tindouf en violation flagrante du Droit humanitaire international et des droits de l’Homme.

La Commission parlementaire mixte Maroc-UE (CPM), du côté marocain, se félicite du vote, jeudi lors de la session plénière du Parlement européen à Strasbourg, contre un amendement hostile au Maroc, soulignant que le rejet de cet amendement traduit une prise de conscience par les eurodéputés des manœuvres fomentées par les ennemis de notre intégrité territoriale.

Le Royaume-uni a affirmé avoir “pris note” des efforts “sérieux et crédibles” déployés par le Maroc pour “aller de l’avant” vers un règlement de la question du Sahara.